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Bilan de la semaine #8

Décidément, je ne suis pas spécialement bavarde ces derniers temps… J’espère que vous ne m’en voulez pas trop chers dodus, mais comment expliquer que ma vie va actuellement à 100 à l’heure et que je n’ai même pas le temps de penser qu’une journée s’est déjà écoulée ? Je suis à peu près dans le même état qu’un poulet à qui on aurait coupé la tête. La comparaison est charmante.

Cette semaine a été dure à gérer niveau timing (=j’ai mangé des crasses car manque de temps pour cuisiner) et j’ai hâte de passer le Code pour que je puisse enfin lâcher les pédales et reprendre ma vie là où je l’ai laissée (Code, pédales… Z’avez saisi le jeu de mots ? HAHAHA MAIS T’ES TROP DRÔLE BOULOTTE !)
Bref, c’est dimanche et le dimanche, c’est le bilan de la semaine ! Je précise que j’écris cet article en vitesse car j’ai du boulot en retard 🙂 Pardonnez d’avance ma mise en page bâclée !

Dimanche 02 Août : j’étais descendue sous la barre des 116kg en m’arrêtant à 115,9 malgré un gigantesque écart le midi de la veille. (Les cheating meals auront ma peau).

Niveau repas :
Comme dit plus haut, cette semaine a été assez dure à gérer parce que je passe le maximum de temps au Code, vu que je passe l’examen dans moins de trois semaines, je me perfectionne un max avant d’entamer le début des hostilités. Je plafonne entre 35/40 et 37/40, arriverai-je à atteindre les 40/40 avant l’exam ? Suspense ! Bref, je m’égare.
Tout ça pour dire que du coup, tout le temps que je passe à l’auto-école, je ne le passe pas chez moi (Dieu que c’est d’une logique imparable !) et j’ai, donc, beaucoup moins de temps pour préparer et cuisiner mes repas. Surtout le soir en fait, puisque le midi, j’arrive encore à gérer plus ou moins. Le soir, je mange la cuisine de Maman… Et Maman, la diététique, elle ne connaît pas trop. J’essaie de limiter les dégâts en mangeant très peu, mais ce n’est pas toujours suffisant. Mes soupes me manquent. Cette semaine, je n’ai pu en manger qu’une seule fois (carottes/potirons : une merveille ❤ ) et j’envisage de les préparer quand j’ai du temps de libre et de les congeler ensuite. Gain de temps level 9000 !

J’ai mangé également un peu plus de féculents le midi parce que j’ai faim, tout simplement. J’écoute mon corps et s’il a faim, je le nourris. Bon, j’avoue que j’ai voulu manger des pâtes comme le mois dernier, mais j’ai essayé de varier un peu avec des pommes de terre, des patates douces, du riz… Y’a pas à dire, le changement, ça fait du bien aussi ! Et puis j’ai pu ainsi bénéficier d’autres nutriments.
Je bois toujours autant… 2L minimum par jour. Un vrai camélidé la meuf.

Niveau sport :
Il y a eu moins de musculation cette semaine parce que je me focalise beaucoup sur la perte de gras en ce moment et j’aimerai bien atteindre les 110 kilos d’ici mi-Septembre. Cette semaine, j’ai dû faire deux séances de musculation uniquement… Une spéciale squats et une spéciale gainage. Bien entendu, je les ai couplées avec des exercices pour les épaules et les triceps, histoire d’entretenir les muscles que j’ai déjà assez développés.
Du coup, j’ai fait pas mal de cardio : j’ai couru. Beaucoup. J’aime courir… Je me détends, je peux penser à plein de trucs et j’améliore ma condition physique : pour moi, c’est un win-win total ! Je fais toujours mon circuit de 6km… Je le termine en 54 minutes maintenant et avant de rentrer à Paris en Septembre, j’aimerais bien descendre sous les 45 minutes. Ce serait un bonheur total !
Vu que j’ai des cousines et des cousins qui squattent la maison familiale en ce moment, on se fait tous les soirs un petit match de volley (qui se termine en match de foot d’ailleurs, allez comprendre…) et je trouve ça génial. D’ailleurs, le lendemain de notre 1ère séance, je me suis retrouvée avec des courbatures à un endroit insoupçonné (non, pas ce genre d’endroit, BANDE DE PERVERS !) : j’ai nommé les avant-bras. Sincèrement, je ne savais même pas qu’on pouvait avoir des courbatures à cet endroit-là.

"Je cours. Je cours plus lentement qu'un troupeau de tortues empêtrées dans du beurre de cacahouète, mais je cours.

« Je cours. Je cours plus lentement qu’un troupeau de tortues empêtrées dans du beurre de cacahouète, mais je cours.

Cheating Day :
Il n’y en a pas eu à proprement parler… J’ai un peu profité à différents moments de la semaine, mais jamais dans l’excès. Un midi, j’ai mangé de la glace, un autre j’ai mangé des crêpes, hier soir, on s’est tapé un hamburger avec ma sœur et ma cousine (mais sans frites !)… J’arrive à ménager mes repas de cette façon, et je me dis que ce n’est pas un écart de temps à autre qui va faire quoi que ce soit si derrière je compense avec du sport (Boulotte, militante anti-frustration du tanga). J’aime trop manger en vrai xD

Ma cousine me connaît tellement bien !

Ma cousine me connaît tellement bien !

Dimanche 09 Août : 114,8kg. Soit une perte de 1,1kg cette semaine. Comment vous dire… ? Je ne suis que joie, bonheur et allégresse ! Le sport paie les enfants et je suis TELLEMENT fière de ma semaine !

Fais le pour le "Bordel, s'que t'es devenue bonne !"

Fais le pour le « Bordel, s’que t’es devenue bonne ! »

Mon objectif d’atteindre les 110kg d’ici la mi-Septembre me paraît réalisable si je continue de courir autant et si je couple ça avec du gainage pour éviter au maximum les problèmes de peau distendue. Je suis entrée dans un cercle vertueux où chaque victoire en amène une autre, et laissez-moi vous dire que ça fait un bien fou au moral. Je n’ai jamais été fière de quoi que ce soit me concernant, mais la donne est en train de changer. Je suis fière de perdre aussi facilement, je suis fière de garder ma motivation intacte, je suis fière de voir mes efforts payer et je suis fière de me dire que tout ça n’est qu’un début, et que le meilleur reste à venir.

Amis dodus, ne lâchez rien. Qu’importe la douleur et la peine endurées, ce n’est rien comparé à la satisfaction que vous ressentirez quelques semaines plus tard. Et je sais de quoi je parle.

Hauts les cœurs les dodus, nous y parviendrons !

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Bilan de la semaine #7

Que cette semaine fut difficile…! Mes efforts ont été constants et j’ai repris les choses en main depuis les deux dernières semaines (où ma perte était vraiment très nulle), mais sur le point moral, j’ai vécu beaucoup d’ascenseurs émotionnels (Gad, sors de ce corps !) et il est certain que ça a joué sur ma perte de poids de cette semaine. Cependant, j’ai terminé cette semaine sur une note TRÈS positive alors voyons voir les résultats.

Dimanche 26 Juillet : 116,4kg. Minuscule perte de 400 grammes sur toute la semaine. En même temps, je n’avais pas fourni les efforts qu’il fallait alors c’était un juste retour des choses.

Niveau repas :
J’ai repris du poil de la bête de ce côté-là et j’ai fait de nouveau très attention à mon alimentation. Je suis repartie sur mes crudités d’amour le midi et grâce à mon organisation sans faille (tu parles), j’ai pu également recommencer à préparer mes soupes de légumes le soir. Rien que ça, ça m’a mis du baume au coeur (il faut dire que les soupes de légumes, c’est toute ma vie !).
Très peu de féculents (j’ai dû en manger un midi ou deux) et beaucoup de fibres au programme.
Depuis mon jeûne, j’ai également renoué avec les fruits et j’en ai beaucoup mangé ! Des pastèques, des fruits du Dragon, des mandarines, des grenadilles… Je profite de l’exotisme de mon pays à fond !

Niveau sport :
Moi qui, encore le mois dernier, disais que le cardio me gonflait, je ne me reconnais plus aujourd’hui. J’aime toujours autant la musculation, mais depuis que j’ai repris le jogging, je me sens tellement plus en forme ! Mes résultats s’améliorent vraiment au niveau de mon endurance et je suis très fière de vous annoncer que je n’ai plus mal aux articulations, même au bout d’une heure de course. Le bonheur total.

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Si la semaine dernière, j’effectuais mon circuit de 6km en 56 minutes, cette semaine, j’ai réussi à réduire mon chrono à 54 minutes. Mon objectif est de descendre jusqu’à 45 minutes et par la suite, j’allongerai mon circuit en passant de 6 à 8km. On y croit, on y croit et je suis déterminée. Plus que jamais. Par ailleurs, mon cardio va beaucoup mieux vu que cette semaine, j’ai fait plusieurs matches de volley et J’AI FAIT UN FOOT. Même que j’ai gagné.
Pour ce qui est de la musculation, j’ai de plus en plus envie de dessiner des muscles et d’être tracée. Mes bras commencent à joliment se dessiner, mes cuisses et mon boule se musclent, le tronc s’affine… On dit qu’on ne se voit pas maigrir et c’est totalement vrai ! Seulement, il y a une sorte de déclic à un moment et on se dit «Nom d’une pipe en bois, mais c’est vrai que je suis plus mince !». Je commence à flotter dans mes fringues et je sais que c’est grâce à la muscu. J’ai déjà perdu plus de 20kg à un moment (coucou l’effet yoyo), je ne faisais pas de muscu et je n’étais pas aussi ferme que je le suis actuellement. Les litres de sueur et les courbatures douloureuses valent mes résultats d’aujourd’hui et j’en suis très contente.
Mes objectifs en muscu sont d’augmenter mes charges pour gonfler un peu plus les muscles au niveau des bras (attention, je ne veux pas ressembler à Vin Diesel non plus hein) et d’allonger mes séries de squats. Je fais actuellement 11 séries de 10 avec une charge de 20kg, et sans augmenter la charge, j’espère dans la semaine à venir à monter jusqu’à 15 séries de 10.

Parfois, j'attrape mon cul... Parce que ben, je fais des squats.

Parfois, j’attrape mon cul… Parce que ben, je fais des squats.

Cheating Meal :
Pardonnez-moi mon Père parce que j’ai péché. Ouais bon OK, la semaine dernière, je promettais de ne pas consommer de cheating meal parce que j’avais trop déconné la semaine d’avant, et j’allais tenir cet engagement, sauf que ma mère m’a invitée au restaurant avec ma fratrie hier midi. Je n’allais pas refuser quand même. Et je me suis dit que quitte à faire une entorse à mon régime, autant carrément lui infliger une fracture. Burger et frites, me voilà.
Pour la petite histoire, je n’ai mangé qu’un tiers des frites et que la moitié du burger, mon estomac ne peut plus ingurgiter autant de nourriture qu’avant, et encore moins quand la nourriture en question est blindée en graisses saturées. Et si vous voulez rire, je vous laisse avec le screenshot de ma page Facebook par rapport à ce cheating meal. C’est ce qu’on appelle le Karma avec un grand K.

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Dimanche 02 Août : 115,9kg soit une perte de 500 grammes cette semaine. Un peu en dessous de mon objectif, mais je sais d’où ça vient donc ça sera plus facile de rectifier le tir par la suite. Et puis, et puis, et puis JE SUIS SOUS LES 116 ! Youpi ! 😀

Malgré une petite perte, c’est une semaine qui a été sous de très bonnes hospices pour le sport et je suis très contente de chacune de mes réussites. La semaine à venir promet d’être encore plus belle au vu des objectifs que je me suis fixée. J’ai hâte d’être à dimanche prochain !

Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

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Dans mon assiette #1 : La tomate

Petit contretemps puisque je devais vous poster cet article hier, mais j’ai une excellente excuse : je suis allée au Code. Bon OK, je n’ai pas fait de sport non plus, mais j’ai obtenu un score de 35/40 ! Pour la nullarde que je suis, j’ai failli sortir de l’auto-école pour danser la samba sur la route nationale d’en face. Oui, il ne m’en faut pas beaucoup pour faire la fête. *Ressaisis-toi Boulotte, tu passes ton Code dans 3 semaines !*

Aujourd’hui, parlons bouffe. Pour un blog régime, je trouvais ça assez hallucinant de ne pas avoir encore posté de recettes alors que j’ai toutes les photos sur mon disque dur. Boulotte passion fainéantise. Pas de ma faute, j’aime trop raconter ma vie.

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Bref, au cas où vous ne le saviez pas encore, je suis une mordue de tomates ❤ Genre j’aime ça autant que les pâtes (c-à-d hasta la muerte). Je les mange sous toutes leurs formes et je ne m’en lasse jamais, ce qui fait que la tomate est l’aliment qui constitue 90% de mes repas. Du coup, j’avais envie de vous montrer une partie des repas que j’ai pris la semaine passée. Composée essentiellement de tomates, donc. Si ça peut vous donner des idées pour un plat rapide, light et healthy, ma mission sera remplie !

NB : Je mange complètement différemment du reste de ma famille alors les quantités que j’indique sont celles que j’utilise pour moi toute seule et en fonction de ma faim 🙂

1) La Classique
1 tomate
2 bonnes poignées de salade verte « feuilles de chêne »
Quelques dés de jambon
image2Modus Operandi : Je coupe ma tomate et mon jambon en petits morceaux, je cisaille la salade verte et je mélange le tout allègrement en chantant Gigi l’amoroso. De Dalida, oui.

2) La Simple
2 tomates
Du basilic
image5Modus Operandi : Je coupe ma tomate en dés, je cisaille mon basilic que je dispose sur le dessus.

3) La Tomate-Mozza
2 tomates
40g de mozzarella
Du basilic
image4Modus Operandi : Je coupe ma tomate en rondelles, idem pour la mozza et je dispose des petits morceaux de basilic sur le dessus.

4) L’Amour (parce que ça réunit mes deux amours : pâtes et tomates)
1 grosse tomate
Environ 150g de spaghettis (cuits)
De la sauce sojaimage3Modus Operandi : J’assaisonne mes pâtes avec de la sauce soja, je coupe ma tomate en dés, je mélange et basta.

Pour ce qui est de la sauce-salade, elle est toute simple : une cuillère à soupe d’huile d’olive, un peu de sel, un peu de poivre et un filet de jus de citron vert. Pas besoin de faire compliqué quand on peut faire simple 🙂

Je suis une grande fanatique de cuisine et j’aime passer du temps aux fourneaux (mes lasagnes végétariennes sont à tomber par terre), mais pour ce qui est de mes repas, j’aime consommer frais pour conserver toutes les vitamines, donc tous les repas énoncés plus haut ne m’ont pas pris plus de 6 minutes de réalisation (sauf pour les pâtes où j’ai dû les faire cuire avant, mais ce n’est pas la mort non plus).

Simple, light, rapide et très bon, que demander de plus ?
(Oui, je voue un espèce de culte au basilic aussi…)

Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

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Bilan de la semaine #6

Les dieux de la fainéantise ne m’ont pas épargnée cette semaine, et moi qui écris toujours trois articles dans la semaine, là, je n’ai tout simplement pas pu. Bon, en même temps, j’avais pas mal de choses à régler et quelques GROSSES tuiles me sont tombées dessus. Grosses genre pachydermiques. Ma vie pue du cul. Enfin, en ce moment en tout cas, et vu qu’elle est habituellement parfumée au monoï, j’ai un peu de mal quand les choses ne tournent pas en ma faveur. Bref, on s’en fiche un peu, pas vrai ? Ce qui vous intéresse, vous, c’est comment s’est déroulée ma semaine, et c’est ce qu’on va voir de suite.

Dimanche 19 Juillet : 116,8kg. J’avais réussi à maintenir la grosse perte de poids due à mes 5 jours de jeûne et j’en étais fière comme un paon.

Niveau repas :
Rien de folichon, à part que j’ai été très occupée cette semaine (paperasse, code, conduite, taff saisonnier…), ce qui fait que pour être honnête, je n’ai pas fait attention à mon alimentation. Du moins, pas autant que d’habitude. Enfin, évidemment, j’évite les bombes genre trop-gras, trop-salé, trop-sucré, plat tout préparé, mais quand on pèse plus de 100kg, vous pensez bien qu’éviter les bombes n’est pas suffisant pour une perte de poids efficace.
Au programme, toujours pas mal de crudités (mes recettes chouchoues débarquent mardi !), mais moins de soupes le soir. Manque de temps pour les préparer, ça m’a un peu cassé les pieds. Il faut vraiment que j’aménage mon temps afin de pouvoir tout mener à la baguette, parce que si je continue comme ça, au mieux, je stagne, au pire, je reprends. Et ça, je ne veux paaaas ! Rendez-vous compte, j’ai même mangé des féculents (des pâtes, pour ne pas changer) UN SOIR ! Bon OK, en très petite quantité, mais c’était ça ou des yaourts. Et vu que je déteste les yaourts…
Je ne suis pas sur la bonne pente là, motivez-moi les dodus ! ❤

Niveau sport :
J’ai sauté un jour de cardio et un jour de renfo musculaire. Pas à la suite, évidemment, faut pas déconner, mais à ce qu’il paraît, il faut laisser les muscles se reposer de temps en temps, alors j’essaie de ne pas trop culpabiliser. Je suis droguée aux endorphines, c’est un fait, et dès que je ne fais pas de sport, j’ai tendance à lééééégèrement exagéré les choses en imaginant que je ne puisse pas reprendre. Comme dit mon père : « mieux vaux cette addiction que l’alcool ». C’est sûr.
Je dépasse allègrement 1h de musculation, je n’ai pas encore réitéré l’exploit d’1h30 de la semaine dernière, me cantonnant à 1h10-1h20, ce qui me paraît déjà pas mal. Je n’ai pas augmenté mes charges non plus, j’essaie de travailler mon endurance avec mes charges maximales. Pas de tout repos, mais je suis très heureuse de me réveiller avec des courbatures : cela signifie que j’ai encore une marge de progression.
Là où il faut que je raconte mon exploit, c’est sur le point cardio : j’ai fait deux choses assez incroyables dans mon jogging cette semaine.
1) Mon parcours habituel fait 6km et au tout début, il me fallait 1h15 pour le réaliser. Mercredi, je suis passée sous la barre d’une heure et je l’ai fait en 56 minutes. ALLÉLUIA, JOIE DANS MON COEUR ! Je cours plus rapidement aussi (bon en même temps, ça, ce n’était pas très compliqué), je fractionne moins et j’ai plus d’endurance ; ce qui nous amène à l’exploit numéro 2.
2) Quelque peu lassée de mon parcours de 6km, j’ai voulu pousser un peu plus loin. J’ai couru 10km. Comme ça, normal, oklm. Bon, au départ je pensais que le circuit faisait 8km, j’étais cuite et archi cuite à l’arrivée, je ne suis clairement pas entraînée, et je ne sais pas si je réitèrerai cet exploit de sitôt au vu des points de côté de la mort que j’ai eus. Cependant, je suis extrêmement fière d’avoir pu courir 10km, c’était quelque chose qui me paraissait très loin dans mon esprit, et même si je manque d’entrainement, j’ai clairement les capacités malgré mes 116kg. Alors je vais m’entraîner et recommencer.

10km, ma gueule, hé ouais !

10km, ma gueule, hé ouais !

Cheating Day :
Affolement au compteur Geiger ! Ce n’est pas un, pas deux, mais trois cheating meals qui ont eu lieu ! \o/ Magnifique Boulotte, tu cours 10km et tu niques tout derrière.
Bon, je ne vais pas me dérober hein : j’ai déconné, je sais. J’aurais dû me restreindre davantage, mais la notion du plaisir est tellement importante chez moi que je préfère me tuer un peu plus au sport et m’enfiler mon Cornetto à la fraise à midi tranquillou, plutôt que de ne pas avoir de plaisir du tout. Épicure, sors de ce corps.
Je continue la lapidation : j’ai également mangé un Floup (sorte de Mister Freeze local) hier midi, et hier soir, mon père m’a invitée au restaurant. J’ai limité la casse en commandant des légumes au wok, mais ça reste un plat tout préparé donc je ne sais pas quelle est la quantité de gras qui a été utilisée. Somme toute, ça reste plutôt raisonnable OK, mais il n’empêche que la semaine prochaine, il n’y aura aucun cheating meal, parce que j’ai trop déconné là.

Dimanche 26 Juillet : 116,4kg. 400 grammes de perte. Bon ben, aucune surprise pour le coup… Enfin si, une petite : je pensais avoir repris et en fait, non. Maigre consolation, mais c’est déjà ça !

Évidemment, la semaine à venir va être synonyme de reprise en main parce que là, ça ne va plus ! Deux ou trois semaines que je fais n’importe quoi et je suis très déçue de moi-même. Il est hors de question que je m’aventure davantage sur ce chemin, il est temps pour moi de revenir à une alimentation plus stricte.

La seule bonne nouvelle de cette semaine, c’est que nous nous sommes pleinement réconciliés avec Georges Clooney (big up Cicloucr !) et c’est l’amour fou ! ❤
Ha et j’ai aussi changé de couleur de cheveux. J’adore mon brun naturel, mais j’ai eu envie de le doper un peu et me voilà avec un joli bordeaux ! 😀

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Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

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Bilan de la semaine #5

Ouiiii, on est Dimanche et c’est parti pour le bilan de la semaine ! Bon, je ne vais pas tourner du pot et entrer tout de suite dans le gras vif du sujet :ça n’est pas ma meilleure semaine, manque de temps, fatigue, peu de sport, bref, un joli combo en somme. Non mais la honte quand même parce que je suis quand même censée faire le Top Body Challenge ! Enfin, je suis en pleine transition et je fais ça en douceur, on va dire !

Dimanche 12 Juillet : 117,6kg suite à une perte de 1,9kg due à ma semaine de jeûne et rappelez-vous, je me demandais si j’allais reprendre du poids parce que je recommençais à manger des aliments solides.

Niveau repas :
Dire que je n’ai pas fait de très gros efforts là-dessus, est malheureusement un doux euphémisme. Enfin, j’en ai fait, mais moins que ce que je voulais. J’ai été fort occupée cette semaine puisque j’ai commencé la conduite à l’auto-école et c’est vraiment crevant ce truc, je ne m’y attendais pas du tout. Du coup, j’ai un peu lâché la bride côté bouffe, mais tout en faisant attention à ne pas manger des quantités astronomiques, à bien repartir mes aliments sur la journée et à boire toujours beaucoup d’eau.
Bon OK, j’avoue aussi que j’ai craqué pour de la charcuterie. Mon Dieu, ce truc aura ma peau, je pourrai mourir pour une tranche de saucisson, sachez-le. Enfin, j’ai également eu d’autres petits écarts, mais c’était toujours très raisonnable en fin de compte.

Petit écart partagé avec mon frère !

Petit écart partagé avec mon frère !

Niveau sport :
Je n’ai pas pu en faire autant que je voulais car manque de temps, mais globalement, ça reste assez soutenu. Suivant le schéma du TBC, j’ai fait 1 jour muscu, 1 jour cardio, 1 jour muscu, 1 jour cardio, etc etc. Sauf qu’il y a deux séances de cardio et une séance de muscu qui ont sauté.`
Pour le cardio, je fais toujours pareil : je cours. Je suis très contente parce que je fractionne de moins en moins mon parcours et mon souffle s’améliore vraiment.
Pour la muscu, j’ai augmenté les charges (je bosse avec des barres à 24kg maintenant), je crois que là, je travaille vraiment beaucoup plus la masse musculaire qu’auparavant. Les courbatures douillent, mais je suis très contente de mes progrès qui sont de plus en plus visibles.
Je suis toujours ma séance de musculation comme décrite dans cet article, mais j’y ai apporté quelques modifications. Je ne fais plus beaucoup de développer-coucher en prise serrée, ça fait vraiment trop mal et je ne vois pas vraiment d’amélioration, alors je vais voir si je continue ou pas. Je fais plus de squats, plus d’abdos et plus de tirages-menton, je vois les résultats et c’est vraiment motivant ! Ah et aussi, j’ai poussé mes séances de musculation à 1h30 et je m’y tiens, je trouve ça dément, mais je ne pousserai pas plus.

Cheating Day :
Hahaha, vous allez bien rire pour celui-là. Il ne s’est pas joué au niveau de la nourriture, mais au niveau de la boisson. N’allez pas croire que je suis une ivrogne invétérée, je ne bois qu’occasionnellement (anniversaire et Nouvel An), mais mon frère vient de terminer ses études et il est sorti deuxième de sa promo alors on est sorti fêter ça. J’ai bu plus que de raison (hum hum, coupes de champagne, cocktails, shooters) et je n’étais plus très fraîche en fin de soirée, mais ça faisait des années que je ne m’étais pas autant amusée, alors je ne regrette absolument pas !

Dimanche 19 Juillet : 116,8kg. Décidément, mon corps m’étonnera toujours autant. À part avoir augmenté la durée de mes séances de muscu, on ne peut pas dire que j’ai fait de gros efforts cette semaine, et j’étais persuadée que les effets du jeûne se seraient estompés et je que reprendrai le poids perdu, mais pourtant, voilà une perte sûre de 800 grammes.

Je suis arrivée chez mes parents le 11 Mai, je pesais 127,7kg. 69 jours sont passés et j’ai perdu 10,9kg. -10kg les dodus ! Vous savez ce que ça veut dire ? Qu’il est temps de me récompenser : TATOUAGE ! ❤

Pour la semaine à venir, je compte faire plus d’efforts (en même temps, au vu de cette semaine passée, ça ne va pas être très compliqué) et m’investir un peu plus dans la nutrition du Top Body Challenge. Je ne sais pas encore si je suis capable de courir plus longtemps, mais j’aimerais bien essayer, alors je crois que ça sera mon défi personnel de cette semaine.

Je profite de cet article pour vous remercier pour vos retours sur La Honte, et avec Georges, ça va beaucoup mieux. Si l’histoire se poursuit, il faudra que je lui trouve un autre pseudonyme parce que bon, Georges, ce n’est pas très sexy, quand même.

Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

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La Honte

Amis dodus, j’ai envie de vous parler de plein de choses, de la deuxième partie du jeûne, des recettes lights et délicieuses dont les photos s’entassent sur mon disque dur, de ma routine cardio, de mes conseils pour se mettre au sport… Seulement, je n’arrive pas à me focaliser sur un de ces sujets plus de cinq minutes, tellement ma tête est ailleurs.

Alors pardon, encore une fois, ce post sera personnel, et je ne vous parlerai ni de nutrition ni de sport. Comme dit dans mon article d’introduction, je vous parlerai de tout : sport et bouffe, okay, mais aussi (et pas mal !) de mes états d’âme. Et en l’occurrence, j’ai actuellement un trop-plein d’émotions et je ne sais plus trop à quel Saint me vouer entre la colère, la tristesse, la révolte, le gros bad, le mal de crâne commençant à poindre de manière franche et assumée. Gros bourrin représente.

Partons d’un constat : je suis jolie. Non, ce n’est nullement prétentieux, c’est un fait. J’ai de jolis cheveux, une jolie peau couleur miel lumineuse, un joli visage avec lequel je peux me permettre de sortir sans maquillage. J’ai de jolies jambes, de jolies hanches pleines et un joli décolleté. Oui, mais. Car il y a toujours un mais : mais j’aimerais avoir des fesses plus rondes, mais j’aimerais être plus grande, mais j’aimerais être plus élancée, mais j’aimerais avoir plus ceci, plus cela. Nous avons tous des complexes, pas toujours assumés la plupart du temps, mais qu’importe : c’est ce qui nous définit. Mon complexe à moi, c’est mon obésité. Mon gros bide qui pend, mes gros bras qui pendent, mon double-menton qui font que par moment, je me retrouve à douter de moi-même.

Globalement, je me sens bien dans ma peau, j’ai fait la paix avec mes vieux démons, et je m’investis corps et âme au sport pour me remodeler une silhouette qui me plaira davantage que celle que je me trimballe actuellement. Alors oui, je ne suis pas la plus belle au monde et je ne finirai jamais sur un catwalk de Victoria’s Secret. Moi, parader en lingerie ? Never. MAIS je suis ce qu’on appelle une belle femme (une bombe dirait même mon meilleur ami, mais son avis est biaisé), alors merci la génétique, oui, mais merci aussi à mon hygiène de vie.

Partons d’un deuxième constat : j’ai un crush. Un mec qui me plaît pour les non-anglophones. On va l’appeler Georges pour conserver son anonymat. Georges me plaît énormément et cruche que je suis, je suis tombée amoureuse. Ben ouais, je ne l’ai pas décidé, c’est arrivé comme ça et au vu des larmes que j’ai versé depuis sa rencontre, j’aurai tout fait pour m’en passer si je l’avais su avant.

Georges m’affirme que je lui plais, qu’il me trouve belle, sensuelle, sublime. Avouez, ça fait rêver. La première fois que j’ai entendu ces paroles-là, mon coeur a fait trois bonds dans ma poitrine. Non, pire, il s’est carrément envolé. Quelques temps après sortent les mots qu’on espère toutes, mesdames : je t’aime ! Ha bah oui alors ! Depuis le temps que je lui avais déclaré ma flamme, j’attendais tout de même un juste retour des choses au bout d’un moment.

Vous suivez toujours ? Bien.

Avec Georges, nous avons donc décidé de « nous mettre en couple » (Dieu, que c’est ringard cette expression) malgré la distance, lui restant à Paris et moi m’exilant en pleine jungle Amazonienne.

Seulement, il y a un hic. Et quel hic : Georges n’aime pas mon physique. Alors, entendons-nous bien, il aime mon visage, mes cheveux, mes jambes, ma personne (hum hum), mais mon obésité le dérange. Forcément, lui est fin comme un coucou et doit peser 55 kilos tout mouillé. Pour rappel, je fais dans les 118, mais soit, je peux comprendre.

Mettons-nous d’accord encore une fois sur un autre point : j’ai décidé de perdre du poids depuis Octobre 2013, soit quasiment deux ans.

Je savais que Georges avait un sacré problème avec mon poids, que ça lui pesait sur la conscience, stricto sensu. Ma perte de poids, je la fais avant tout pour moi, parce que c’est un combat personnel. Comme dit dans un article précédent, le régime, on le fait pour soi-même et personne d’autre. Alors, évidemment, en ce qui me concerne, Georges est une sacrée motivation parce que je me dis que s’il m’aime déjà, hé bien il m’aimera encore plus avec des kilos en moins. VOUS LA SENTEZ LA CONNERIE, LÀ ? Cela nous a valu une grosse prise de bec le week-end dernier où j’ai cru que la terre s’ouvrait en deux sous mes pieds.

Faute n°1) À demi mots, Georges a avoué ne pas vouloir me présenter à ses amis à cause de mon physique. Georges a donc honte de moi.
Faute n°2) D’humour taquine, je lui lance que pour le déconcentrer dans son boulot, je compte me balader en tenue légère sous son nez (TRÈS GROSSE BLAGUE au vu de ma pudeur légendaire). Réponse de l’intéressé : «Ha non, il me faut une vraie bombasse pour que je craque» (suivi de «non, j’déconne, bien sur que je craquerai direct» en comprenant qu’il avait poussé le bouchon trop loin).

Oui. Moi aussi, il m’a fallut du temps pour digérer cette merde.
Et en fait, non, je ne l’ai toujours pas digérée.

Instinct de survie, je me suis aussitôt refermée comme une huître, lui cachant ainsi mon humiliation, ma douleur, ma peine, ma tristesse et mon dégoût de moi. Moi qui avais fièrement cassé toutes les barrières de mon dégoût de moi-même, me voilà revenue à la case Départ avec des complexes en plus. En temps normal, je n’en aurai eu rien à fiche parce que je sais ce que je vaux, mais Georges, malgré ses défauts et ses actes, j’en suis éperdument amoureuse. Oui, parce que c’est là que le bât blesse, sinon ce n’est pas drôle.

Cet après-midi, je me suis plantée devant ma glace et j’ai pris soin de m’inspecter très attentivement.
Mes cheveux que j’aime tant sont toujours les mêmes.
Mon visage est toujours le même.
Mes jambes sont toujours les mêmes.
Tout ce que j’aime en moi était là, intact.

ALORS POURQUOI J’AI DOUTÉ, BORDEL ?

J’ai repensé à mon chemin parcouru depuis ce fameux jour où la balance a affiché 141 kilos, jusqu’à ce matin où elle affichait 118. Et j’ai reçu en pleine tête toute la fierté que je n’avais jamais réellement exprimé. Devant mon miroir, j’ai beuglé comme une folle «PUTAIN CE QUE T’ES GÉNIALE, MEUF». Oui, je suis géniale. Oui, je suis fière. Oui je suis belle. Et je suis conne, et mille fois conne d’avoir pu en douter un seul instant à cause des paroles d’un homme.

Alors aujourd’hui, j’ai pris le taureau par les cornes et suis partie causer avec le responsable de tous mes maux. J’ai joué cartes sur table. Étant distante depuis ce week-end, m’est avis qu’il n’a pas dû le voir venir mon ultimatum, le Georges. « Refais moi encore une remarque sur mon physique et je te jure sur ma vie que c’est terminé. Je suis amoureuse et trop stupide pour te laisser une autre chance, alors ne me fais pas regretter ». Et il a promis.

Personne n’a le droit d’avoir honte de moi. Pas même moi.

Parce que je suis une bombasse, putain.

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Oui, je vous montre mon boule keskiya ?

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Liebster Award – Le tag des 11 questions

Amis dodus, je sais que vous attendez la deuxième partie de mon post sur le jeûne et rassurez-vous, il est en cours d’écriture, mais aujourd’hui, je publie un article qui n’a rien à voir… ! Rien à voir avec le régime, rien à voir avec le jeûne, rien à voir avec rien du tout. J’ai été tagguée par Emma Imagine sur le Liebster Award et je me suis dit que ça serait sympa que j’y réponde, histoire que vous connaissiez mieux la grassouillette que je suis.

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Le principe ? Dire 11 choses sur soi, répondre à 11 questions, imaginer 11 questions et tagguer 11 personne en retour. Le nombre 11 est diabolique. Allez, avec tout ça à faire, autant commencer tout de suite !

Je déteste les gens qui font du bruit en mangeant. Les couverts qui tapent contre les dents, les bruits de bouche, les raclements de gorge… Ça a le don de me couper l’appétit direct.

Je suis une mélomane avertie. Je ne peux tout simplement pas vivre sans musique et s’il est vrai que j’écoute absolument de tout, il s’avère que j’écoute aussi beaucoup de soupes commerciales. Oui j’écoute Kendji, Maître Gims et Quentin Mosimann, roh ça va.

Je fais une fixette sur les sourcils des gens, je crois que c’est un des premiers trucs que je regarde quand je rencontre une personne.

J’ai peur des chats. J’ai tenté de surpasser ça et d’en adopter un, mais une fois qu’il a dépassé le stade de chaton, il m’a fait flipper et ma sœur l’a récupéré. Fail. Non mais c’est sournois un chat en fait.

J’ai une seule sœur, elle a 12 ans et c’est l’amour de ma vie ❤ C’est la personne que j’aime le plus au monde et avec qui je m’entends le mieux, malgré nos 13 ans de différence.

Je suis addict au vernis à ongles…quand j’ai les ongles courts. Actuellement, ils sont assez longs et je refuse de porter du vernis, je les trouve très jolis au naturel aussi.

Je suis un rat de bibliothèque, je lis beaucoup, et j’ai toujours, depuis mes 8 ans, deux-trois livres qui traînent dans mon lit. À défaut de partager ledit lit avec un homme, au moins, je me cultive. Don’t judge me

Je suis accro aux tatouages. J’en ai actuellement 7 dont un début de manchette que j’ai HÂTE de pouvoir terminer le jour où je deviens riche.

Je ne porte essentiellement que des robes. Je trouve les pantalons jolis, mais sur les autres !

Je voue un culte à ma masse capillaire. Non mais il faut me comprendre, j’ai porté une coupe garçonne pendant plusieurs années et ai quasiment toujours eu un carré, donc maintenant qu’ils ont poussé, je suis un brin maniaque sur leur rendu.

J’ai des amis formidables. J’en ai très peu, mais ils sont géniaux. On dit que les amis sont la famille qu’on choisit et dans mon cas, je n’aurai pas pu avoir meilleure famille. Et sans eux, je serai perdue. J’vous aime les copains !

Pfiou, 11 faits, c’était dur !

Avant de poursuivre le tag, je nominé déjà AdoretumbraAnah AddictMiss Végé, 365 Jours, Rose Cocoon et comme je débute et que je ne connais pas beaucoup de blogs, je tag tous ceux qui passeront par là 🙂 Oui, toi là, derrière ton écran, fais ce tag et dis que c’est moi qui te tag ! 😀

Mes 11 questions sont :
1) Si tu devais porter une seule couleur pour toujours, quelle serait-elle ?
2) Le meilleur film que tu aies pu voir dans ta vie et pourquoi ?
3) Une chanson que tu détestes et pourquoi ?
4) Je te donne 100 euros, qu’est-ce-que tu achètes ?
5) Si tu devais te résumer en un seul mot ?
6) Plutôt crème solaire indice 50 ou huile de monoï ?
7) Selon toi, quel est le meilleur cocktail au monde ?
8) Quels sont les 3 objets le plus proches de toi actuellement ?
9) Capable de vivre une semaine sans smartphone ?
10) Plutôt chat ou chien ?
11) Pourquoi la marmotte, elle emballe le chocolat dans le papier d’alu ?

Allez, maintenant, les 11 questions d’Emma 🙂

1. Qu’est-ce-qui te motive ?
Dans la vie de tous les jours, mon régime. Je ne parle que de ça et je ne vis que pour ça. C’est toute ma vie que je suis en train de transformer et ça me procure une énergie formidable.

2. Quelle est ta lecture de l’été et pourquoi ?
Comme dit plus haut, j’adore lire ! De tout et de rien, alors peu importe la saison, j’ai toujours un livre en cours 🙂 Et pourquoi ? Ben parce que les livres et moi, c’est une grande histoire d’amour !

3. Ta destination de rêve ?
Oulaaaa, y’en a trop ! Je suis souvent prise d’envie de voyages et ça touche à tout : la Suède, le Pérou, le Mexique, les USA, la Corée du Sud… !

4. Le verre, tu le vois plutôt à moitié plein ou à moitié vide ?
Au risque d’étonner, je dirai à moitié vide. J’ai connu beaucoup de déceptions (à tout niveau) et maintenant, je préfère toujours présager le pire pour ne plus être déçue.

5. Je suis un génie et je peux exaucer ton rêve le plus cher, quel est-il ?
Ha bah depuis le temps que je te cherche, génie ! 😀 Quand j’aurai obtenu le corps de mes rêves, mon souhait serait de le figer dans le temps pour toujours, comme ça je serai sûre de ne jamais redevenir comme j’ai pu être il y a deux ans.

6. Tu pars demain pour une destination lointaine, que mets-tu dans ta valise ?
Tout dépend si c’est une destination en pays froid ou en pays chaud 😀 Donc dans le doute, j’emmène rien à part ma CB et j’achèterai tout ce dont j’ai besoin sur place. Je prends juste mon petit flacon d’huile de rose qui me sert pour tout : le corps, le visage, les cheveux, les vergetures… Pour tout !

7. Une phrase qui t’accompagne depuis toujours ?
Aujourd’hui, je serai meilleure qu’hier.

8. Qui voudrais-tu être ?
Moi et personne d’autre. J’ai lutté pour être là où j’en suis actuellement et je suis très fière de mon parcours.

9. Qui es-tu en vrai, à l’intérieur ?
Une gentille fille qui a beaucoup à donner.

10. Une addiction ?
Les livres. Et les coques d’iPhone. Et la musique aussi, c’est toute ma vie.

11. Qu’est-ce-que tu ne regrettes pas ?
Je ne regrette rien du tout. Absolument rien. Quels que soient les échecs ou les obstacles que j’ai pu rencontrer, c’est grâce à eux que j’ai pu me hisser là où je suis aujourd’hui. Ma vie est ce qu’elle est, mais je l’aime profondément, et je ne l’échangerai pour rien au monde.

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Bilan de la semaine #4

Amis dodus du jour, bonjour ! Nous sommes Dimanche et comme vous le savez depuis un mois maintenant, je vous donne rendez-vous chaque Dimanche pour vous parler de ma progression de la semaine. Purée, c’est mon 4ème bilan déjà ! Le temps ne court pas mes amis, il vole !

Dimanche 5 Juillet : 119,5kg au compteur. Bahaha après une semaine bien merdique (pardon hein, mais c’était vraiment ça), mes séances de cardio m’avaient permis de descendre sous la barre des 120 et d’entrer dans une nouvelle dizaine. Je ne suis que joie !

Niveau repas :
Je vous renvoie à mon précédent article. Liquides essentiellement donc, j’ai beaucoup tourné au jus d’ananas. Fait maison, of course ! Je me coupais 2 ou 3 tranches d’ananas, j’ajoutais une cuillère de miel, 750mL d’eau et boum, au blender. J’agrémentais le tout d’un filet de jus de citron vert ou d’orange, mais globalement, la recette reste la même.
Ma mère, partie en déplacement pro, m’a ramené des oranges du jardin d’une de ses copines. BONHEUR DIVIN. Les 2kg sont partis en oranges pressées et j’ai beaucoup aimé ça.
Pour le côté « salé » de la chose, des bouillons de carottes, de céleri ou de potiron. Je vous déconseille le bouillon de tomates : en un mot, c’est dégueulasse.
Je ne recommence à manger « normalement » que depuis hier et pour être honnête, mon estomac me le fait payer, alors je vais y aller mollo encore quelques jours.

Niveau sport :
NADA. J’ai été fort malheureuse toute la semaine, croyez-moi ! Enfin, j’ai recommencé à soulever des poids uniquement hier également. Puis, moi qui bossais avec une charge totale de 20kg, là j’ai dû redescendre à 14kg parce que je ne tenais pas le choc des 20.
Hellmut le Germain préconisait de reprendre une activité physique au bout du 3ème jour, mais j’en ai été tout simplement incapable. J’ai essayé, mais la tête me tournait très rapidement alors j’ai préféré me taper les saisons de Skins UK une énième fois. FAIL. Bon, il faut dire que je suis beaucoup un peu bourrin sur les bords et que mes séances de sport sont assez intenses et même si le jeûne a ses avantages, je ne peux pas du tout le coupler à mes séances de musculation/cardio car pas assez d’énergie, et ça, c’est un gros point noir pour moi. Enfin, dans tous les cas, j’ai pu me reposer pendant toute une semaine et reprendre des forces pour mon prochain défi : le Top Body Challenge. Et là, finie la rigolade !

Cheating Day :
Bon, ben, comme vous pouvez imaginer : avec le jeûne, il n’y avait pas de place pour un joker. Vu que je compte commencer le TBC demain, je pense craquer aujourd’hui, mais avec un estomac encore un peu sous les effets du jeûne, ça sera un truc soft genre un Mister Freeze

Dimanche 12 Juillet : 117,6kg. Haha, forcément une grande perte au vu du jeûne, mais peut-être pas totalement. Au milieu du jeûne, je pesais 113,5 donc le temps de remanger des aliments solides et de reprendre mon alimentation habituelle, je suis remontée à 117,6kg. Donc à voir si les 1,9kg de perte sont réellement perdus ou si je vais encore reprendre. Des pronostics ?

Hâte de reprendre le sport, de commencer le TBC et d’augmenter mes séries à la musculation. Plus le temps passe et plus je me dis qu’après deux ans de régime, je devrais ralentir la perte de poids et me focaliser plutôt sur la perte de masse graisseuse, la « sèche » comme disent les pros. Mon but n’est pas de devenir toute mince (impossible de toutes façons), ni bodybuildée (parce que je trouve ça laid), mais d’être un peu tankée/tracée quand même, objectif plus facile à atteindre pour moi que la pure minceur. Et puis mon amour pour la musculation me pousse dans cette voie, alors autant y aller jusqu’au bout.

Et juste avant de vous quitter, je vous poste deux petites images tirées de mon appli « Physio Tracker » pas trop mal faite pour garder un suivi global de votre perte de poids.

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Je m’actualise grosso-modo toutes les 2-3 semaines pour voir une vraie évolution et ce matin, quelle ne fut pas ma surprise de voir que non seulement j’étais descendue en dessous des 40 en IMC (j’étais à 48 il y a deux ans), mais que je suis également en dessous des 50 % de masse graisseuse (56% il y a deux ans). Vous savez ce que ça veut dire ? Que je suis sur la bonne voie.

Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

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Le Jeûne pour maigrir ? #1

Ha, il fallait bien que je m’y attèle, à cet article. Il y a beaucoup de choses à dire et je ne sais pas trop comment aborder la chose. Commençons par le début.

Disclaimer : Jeûner ? Bon, alors, je ne vais pas entrer dans le débat du « est-ce-que c’est bien ou est-ce-que c’est mal ? ». Il y a les adeptes, les non-adeptes, ceux qui s’en battent les steaks, les manchots unijambistes (hahaha z’avez saisi le jeu de mots ?) et tout ça, mais quelle que soit votre prise de position, respectez celle des autres.

Il y a quelques mois, me sentant inhabituellement ballonnée, j’étais en train de me plaindre à ma meilleure amie et lui demande si elle ne connaît pas un remède de grand-mère pour faire dégonfler tout ça (haha que c’est glam’!). Sitôt embrayée sur le sujet, elle me parle d’un bouquin qu’elle a lu sur la détox : Le Jeûne – Maigrir, éliminer, se désintoxiquer par le Dr Hellmut Lützner (ça sonne bien germanique ou bien ?), bouquin que je m’empresse d’acheter et de lire.

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Lors de ma première lecture, je n’étais pas plus convaincue que ça. Pourtant, le jeûne est quelque chose de très commun dans mon autre culture (non, je ne suis pas une française pure souche !). Les amérindiens jeûnent quand ils passent d’un statut à un autre : passage de l’enfance à l’âge adulte, quand le premier enfant ou petit-enfant naît, pour se préparer à une épreuve physique, et entre autre, pour se purifier. Je ne connais pas les durées des différents jeûnes, mais de ce que j’en sais, c’est le doyen de la famille qui décide du nombre de jours de jeûne.

À 12 ans, j’ai ainsi effectué mon premier jeûne. Bon, je ne fais pas durer le suspense sur la raison : passage à l’âge adulte, c’est-à-dire que j’avais enfin mes ragnoufs. Ô joie. Mon grand-père avait décidé que ça durerait une semaine. Si le souvenir est maintenant lointain, je me rappelle néanmoins que ça avait été assez chiant à vivre pour la goinfre gosse de 12 ans que j’étais, alors refaire un jeûne à 25 ans, était-ce une bonne idée ?

J’ai relu le bouquin et puis, en pesant le pour et le contre, je me suis dit pourquoi ne pas essayer ? Je mourrai moins stupide et puis ça ne pourrait pas me faire de mal.

Le concept de Hellmut le Germain : jeûner sans avoir faim pour désintoxiquer l’organisme, l’éliminer de ses impuretés, pour ressentir une sensation de bien-être, être en meilleure santé, et éventuellement, pour perdre du poids. Là-dessus, je vous arrête tout de suite : je n’ai pas décidé de faire le jeûne pour maigrir. En effet, on perd forcément du poids parce qu’on ne mange pas, mais la balance guettera impatiemment le moment où vous recommencerez à manger et la perte de poids ne sera plus qu’une illusion.

Alors, jeûner = on ne mange pas. OK. Mais dans le bouquin, on n’interdit pas la bouffe de but en blanc genre « non, tu ne boiras que de la flotte », ça serait un peu hardcore, soyons honnêtes. Non, Hellmut le Germain nous préconise de nous nourrir exclusivement de liquides (jus de fruits, de légumes, bouillons, tisane, eau) afin de garder un certain apport en nutriments. Ça va, ça reste gérable.

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Hellmut le Germain conseille également de faire le jeûne sur 8 jours : c’est-à-dire une journée de transition, cinq jours de jeûne pur et deux jours de reprise.
Ben oui, on ne va pas se taper un gros MacDalle la veille au soir et embrayer direct sur une eau aromatisée au poireau le lendemain. Enfin, rien ne l’interdit, mais côté frustration du slip, je pense que le string risque d’être méga tendex et le jeûne n’en sera que plus dur à vivre.

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Après avoir relu des passages et après en avoir discuté avec mon père pendant des heures, on a décidé de se lancer, mais sur une durée de 6 jours : la journée de transition, trois jours de jeûne pur et deux jours de reprise. Honnêtement, je pensais que je n’y arriverai pas parce que justement, j’aime trop manger. Force est de constater que nous sommes actuellement au 3ème et dernier jour de jeûne pur quand j’écris ces lignes, et que je suis toujours vivante. Et contrairement à ce que pensais il y a encore quelques jours, je ne suis pas affamée. En fait, ça va plutôt bien même. Évidemment, manger (des aliments solides, j’entends) me manque, mais honnêtement, non, je ne ressens pas la faim.

Je ne sais pas s’il est bien utile que je vous décrive les « plats » de la semaine parce que mon père et moi avons scrupuleusement suivi les directives de Hellmut le Germain. Essentiellement jus de légumes et bouillons pour mon père, essentiellement jus de fruits pour moi. Cette décision a quelque peu étonné mon entourage parce que je n’ai pas du tout une bouche sucrée, bien au contraire, moins j’ingère de sucre, mieux je me porte. En réalité, je mange très peu de fruits, tout simplement parce que je n’aime pas ça (mais alors les légumes, ça c’est toute ma vie ! Et je les mange sous n’importe quelle forme). Enfin, j’aime certains fruits, mais la liste est assez courte, et si ce n’est pas sous forme de compote, je n’en mange pas.
Alors j’ai pensé que si je me focalisais sur les jus de fruits pendant mon jeûne, je pourrai réapprendre à en apprécier le goût et élargir ma palette de plats pour la suite de mon régime. Et j’ai eu raison (mioum les oranges !).

Journée de transition : mon petit-déjeûner

Journée de transition : mon petit-déjeûner

Hellmut le Germain insiste sur les bienfaits du jeûne, notamment sur la prise de conscience quant à notre rapport avec la nourriture à la fin du jeûne : les quantités que nous ingérons, la façon de manger, les aliments avalés etc. Il est encore trop tôt pour que je donne mon avis final sur ce point, mais je peux dores et déjà constater qu’effectivement, je suis dorénavant encore plus à l’écoute de mon corps et je n’ai pas besoin de manger les quantités que j’ingurgitais jusqu’à présent pour que mon corps fonctionne normalement. J’ai hâte de voir ce que ça donnera sur mon alimentation future, et bien sûr, les effets sur la balance !

Pour l’instant, j’en suis là, et je me suis dit qu’il serait intéressant de vous en parler à chaud pour que vous voyiez mon état d’esprit du moment, donc ce post ne sera que la première partie de mon grand topo sur le jeûne.

Encore une fois, je précise que je ne me suis pas lancée dans le jeûne pour maigrir. NON, NON ET NON. Si c’est votre unique but, excusez-moi, mais c’est une entreprise stupide et vouée à l’échec.

Si j’ai jeûné, je l’ai fait pour trois raisons :
#1 : Tester mon mental pour voir si j’en étais capable.
#2 : Être encore plus à l’écoute de mon corps.
#3 : Purifier mon organisme pour remettre les compteurs à zéro.

Pourquoi remettre les compteurs à zéro ? Parce que j’ai tout simplement décidé de suivre le Top Body Challenge. Of course, j’aurai l’occasion de vous en reparler très bientôt !

Et vous alors ? Vous connaissiez Hellmut le Germain ? Z’avez déjà testé ? Ça vous branche ?
Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

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La Théorie du Legging

Hier, je devais vous parler de mon challenge personnel plus en détails. La semaine détox, du fait de se nourrir que de jus et de soupe, de comment ça se passe et tout ce qui va avec. Seulement, je ne sais pas comment commencer afin de rendre le post moins soporifique. En pratique, c’est assez simple à décrire, mais la théorie est chiante comme la mort. Du coup, je réfléchis encore comment expliquer tout ça. Ne m’en voulez pas, hein !

À la place, amis dodus, ou plutôt amies dodues puisque mon sujet du jour est essentiellement féminin, laissez-moi vous raconter une petite histoire qui m’a fait rire hier soir. Enfin, ce n’est pas réellement une histoire, mais plus une observation que je me suis faite.

Chères comparses féminines, ne vous est-il jamais arrivé un jour de porter un legging ? Ou un collant ? Avouez que nous autres, demoiselles aux cuissots qui se frottent, bénissons l’inventeur de ce morceau de tissu extensible à souhait, bien pratique pour protéger nos jambonneaux des frottements douloureux et autres cloques ensanglantées. OUI, C’EST DU VÉCU. Va t’amuser à faire une balade en jupe longue sous le soleil espagnol par 40°. J’ai encore des saloperies de cicatrices.

De là découle mon observation : il y a deux types de femmes dans le monde.
1) Celles qui mettent leur legging d’un coup direct, une jambe après l’autre, et en deux secondes, c’est fini.
2) Celles qui prennent leur temps, qui font monter le précieux tissu centimètre par centimètre et qui, si vous revenez un quart d’heure plus tard, n’ont toujours pas terminé et n’ont fait qu’une jambe.

Bon OK, vous allez dire que j’exagère, mais vous voyez globalement le tableau que j’ai dressé, et c’est le principal.

Ma théorie est la suivante : une perte de poids, c’est comme un legging.

Mais elle est complètemet tarée ! Elle a craqué ou quoi ?
HAAAA ! Mais laissez-moi vous expliquer ma métaphore avant de me fouetter avec une branche de céleri !

Je disais donc qu’un régime est comparable à un legging, dans le sens où il y a deux types de personnes dans le monde qui ont une différente approche dudit régime : celles qui y vont franco du genou (1ère catégorie du legging) et qui risquent de merder quelque part, de craquer le legging, et donc d’abandonner le régime, si vous suivez bien ma métaphore. Et il y a celles qui prennent le temps de monter des bases solides (2ème catégorie du legging), rendant l’épreuve, certes plus longue et fastidieuse, mais moins risquée, et donc pour qui le régime a moins de chances d’échouer.

Comment ça, c’est tiré par les cheveux ? Attendez, ma réflexion va encore plus loin.

Vient le moment délicat de retirer le précieux legging. Là encore, on retrouve deux types de personnes.
1) Celles qui procèdent méthodiquement et qui enlèvent la chose de la même façon qu’elles l’ont enfilée, c’est-à-dire méticuleusement, faisant rouler le tissu le long de leurs cuisses, genoux, mollets, et qui tirent seulement dessus quand le legging est au niveau des chevilles.

Métaphore pour le régime : ces nanas prennent du temps pour tout. Lentement, mais sûrement. Et elles ont raison. Belles gosses, les meufs #BCBG.

2) Celles qui arrivent en mode barbare et qui retire le legging comme si elles retiraient un baggy à la Snoop Dogg. Elles tirent sur le tissu comme des malades, tissu qui arrive au niveau des genoux et là, s’ensuit la super danse du flamant rose : elles lèvent une jambe après l’autre, le plus haut possible dans le but d’enlever le legging d’un coup. Rigolez pas, je sais que vous voyez de quoi je parle. Cette technique peut tout aussi bien permettre de retirer ledit leggings d’un coup, ou tout simplement de le craquer.

Métaphore pour le régime : ces filles-là préfèrent y aller en mode Jules César sur Rome et font des efforts de malade dans le but d’accélérer ou de maintenir leur perte de poids, au risque de paraître ridicules. Ça passe ou ça casse.

Moi dans tout ça ?
Je me situe personnellement, respectivement dans la 2ème catégorie pour l’enfilage de legging et dans la 2ème catégorie pour le déshabillage #TeamFlamantRose.
Je pose mes bases le plus solidement possible, mais pour la suite, j’aime bien me lancer des défis de la mort, juste pour me tester et voir si j’en suis capable. Attention, quand je dis défis de la mort, je ne parle pas de trucs stupides genre sauter un repas pour avoir un apport calorique réduit et perdre théoriquement plus de poids (NAN MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE ?). Par contre, réduire les quantités de façon drastique pour booster une perte de poids, ça oui, je l’ai déjà fait (et parfois, ça marche, parfois, non). Et ça, c’est un défi de la mort. MOI NE PAS MANGER DE PÂTES, VOUS VOUS RENDEZ COMPTE ? C’est comme une petite mort à chaque fois.

Et vous alors, quel est votre historique avec le legging ? BCBG jusqu’au bout ou flamant rose ?
Hauts les coeurs les dodues, nous y parviendrons !

PS : Oui, je sais, il existe des leggings au tissu plus épais qui peuvent être enfilés façon catégorie numéro 1, mais pour les besoins du scénario, je ne me suis focalisée que sur les leggings à la texture collant !

PS2 : La solution miracle existe pour des cuissots intacts sans legging ! Ça s’appelle Bariederm par Uriage. Ne me remerciez pas !

How_to_get_skinny_teatox_motivation